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 T-ae is Bang Mandy

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MessageSujet: T-ae is Bang Mandy   T-ae is Bang Mandy Icon_minitimeLun 3 Sep - 21:01




Bang Man Ji
surnom : mandy.
âge : 21 ans.
né(e) un : 11 Novembre 1991.
né(e) à : Laguna Beach, Californie.
origine : coréo-américaine.
études/profession : étudiante en droit à la PNU.
situation : célibataire.
sexualité : hétérosexuelle.
niveau de vie : aisée.
groupe : crows.
Hi ! Bang Man Ji, c'est moi. On me classe dans les Crows, car je ne veux plus rien à voir avec les Skies. De ce fait, je suis au courant des ce qui se trame dans les profondeurs de Busan.
Je n'ai pas choisi d'être une Crows. En fait, officiellement, je suis encore une Skies, puisque mon ex petit-ami est un des meneurs du gang des bleus. Alors forcément, il ne me laissera jamais partir. Il suffira d'une connaissance chez les Crows pour me faire rejoindre les corbeaux de la ville.

On me dit souvent que je ressemble à T-ae [RaNia].
« you look better when i'm drunk »
hey, what did you expect ?
Mandy, Mandy, Mandy... Que dire de toi à part que tu es un vrai phénomène à toi toute seule. C'est vrai quoi. Quand tu es dans le coin, on le sait. On t'entend, mais surtout, on te voit. Derrière tes grands yeux noisettes si innocents, tu caches une personnalité bien distincte. Tu es sensuelle et fascinante d'un point de vue extérieur. Sauf que quand on te connait, il est beaucoup plus difficile de te supporter. Beaucoup de gens se sont rétamé en se fiant à ton apparence, pensant que tu es une fille naïve et perdue, tu es tout sauf ça. Tu sais où tu vas, plus terre à terre que quiconque, et tu es bluffante par ta manière de régler les soucis. Tu parles, tu balances 3 mots et tu cloues le bec à beaucoup de gens. Peut-être est-ce pour ça aussi que tu fais des études de droit pour devenir avocate. Tu as un pouvoir de persuasion sans limites qui fait peur à tous. En plus d'être franche, tu es droite. Tu aimes la justice et tu aimes surtout qu'elle soit appliquée à tout le monde. Tu aimes avoir raison et quand quelqu'un te donne tort, tu n'es que rarement d'accord pour fermer ta bouche. Au contraire, ça te met en colère et tu te retiens de tout envoyer ballader.
Le point positif avec toi, c'est qu'on ne s'ennuie jamais. Malgré tous les défauts qu'on peut te lister, tu es énormément attachante. Tu es intense, tous tes sentiments, tu réussis à les faire ressentir aux autres. Tu jouis de toutes les bonnes choses de la vie et en profites vraiment. Tu vis à fond, on te le reproche d'ailleurs de vouloir tout faire dans la minute qui suit. Tu ne tiens pas en place et tu es toujours active, en train de courir à droite à gauche. La fatigue? Tu connais pas. Tu es insomniaque alors rien ne peut t'arrêter. Vraiment rien. Malgré ce que tu montres de toi, tu es fragile comme du cristal. On peut facilement te toucher, reste encore à le montrer. Ca, c'est autre chose. Tu as une fierté et tu refuses que les gens sachent comment te blesser. Tu es passionnante et tellement mystérieuse pour les élèves de la FAC, qu'ils veulent tous t'approcher pour mieux te connaitre. Mais tu ne laisses personnes t'approcher pour le moment. Parce que tu ne fais confiance à personne.
Physiquement, tu es grande (1m70) et tu as une chevelure que personne ne peut manquer. De couleur châtain, elle a, au soleil, des reflets roux qui te vont à ravir. Tes yeux n'ont rien d'une coréenne pure et dure, tu as hérité des yeux de ta mère, des yeux marrons/verts qui donnent à ton regard une profondeur extrême. De longues jambes sveltes et une poitrine généreuse, ainsi que des fesses galbées, oui, tu as les atouts pour faire tourner les têtes des plus beaux garçons de la PNU.

i feel so close to you right now
Je suis née à Laguna Beach, en Californie, le 11 Novembre 1991, un jour de pluie. Je n’ai jamais connu mon père. En réalité, il était un fugitif qui fuyait la dure réalité des choses. Il était un tueur à gage que j’ai toujours haï, au fond. Une espèce de fou dont la profession est aussi connue sous le nom de « tueur à gage ». S’il avait pensé un jour avoir un enfant ? pas du tout. J’ai toujours vécu dans le secret. Il savait qu’il avait une fille quelque part dans ce grand pays qu’est les Etats Unis. Tout commença le jour où il rencontra ma mère, une jeune femme de 19 ans qu’il devait tuer pour son boss qui avait eu des problèmes avec son vieillard de père. Armé de son fusil sniper, il la visait, et puis… Il a utilisé la longue vue de son fusil pour la regarder, l’admirer. Il est tombé amoureux dès le premier regard. Il ne l’a pas tué, il a fui. Il a fui pour ne pas avoir à affronter ces beaux yeux innocents qui ne demandent qu’une chose : d’être épargné. Le hasard a voulu qu’ils se rencontrent dans les rues de Memphis et qu’elle tombe amoureuse de lui elle aussi. Folle. Ce jeune coréen avait tout pour plaire. De la classe, du mystère… Ils ont couché ensemble. Plusieurs fois. Tout ça dans le dos du boss de mon père. Et je ne sais pas à quel moment j’ai été fabriquée mais une chose est sûre : ma mère est tombée enceinte à l’âge de 20 ans. Quand elle a annoncé la nouvelle à mon père, il a pleuré toutes les larmes de son corps et lui a demandé d’avorter, d’abord. Sauf que ma mère tenait déjà trop à moi. 2 mois et demi que je résidais sous son nombril et elle m’aimait déjà plus que sa propre vie. Après réflexion, il a décidé de risquer sa vie pour moi, pour me garder. Il a supplié ma mère de partir loin de Memphis, et elle est donc partie s’installer en Californie, avec son père (mon grand-père, donc), à Laguna Beach, une ville en bord de mer. Je me souviens comme si c’était hier de cette magnifique maison dans laquelle j’ai grandi. Une maison en bord de mer, avec un jardin pour m’amuser. La maison, telle qu’elle était, ne peut être décrite avec des mots. Elle était parfaite, et bien trop grande pour 3 personnes. Mais ma mère m’a élevé. Du haut de ses 20 ans, elle m’a élevé comme aucune autre mère ne l’aurait fait. Ses rires, son parfum, ses bras, tout ça, je m’en souviens encore. Sa façon de me bercer, de me prendre dans ses bras quand j’avais de gros chagrins ou sa façon de me gueuler dessus quand je devenais pénible. C’était tout. Tout ce qui comptait. Je la voulais et je voulais la garder pour moi. Mais je n’ai pas pu… Je n’ai pas eu le droit de la garder.
La vérité est que mon père n’a pas réussi à nous cacher longtemps. Les années avaient passé, et à mes 8 ans, je reçus un coup de téléphone. Le jour de mon anniversaire. La voix d’un homme à l’autre bout du fil m’avait quelque peu bouleversé. Je compris plus tard qu’il s’agissait de mon père, et qu’il avait été aussi bouleversé que moi de m’entendre pour la première fois de sa vie. « Ma fille… Ma fille. » avait-il dit au téléphone, à ma mère, quand elle lui avait dit que c’était bien moi qu’il avait entendu. Il avait promis de venir nous voir un jour, de venir me rencontrer, mais il n’avait pas eu le temps. Si je vis aujourd’hui, c’est grâce à mon père. Il est mort pour moi, parce qu’il a demandé à son boss et ses recrus de ne pas me tuer, parce que j’avais la vie devant moi. Et qu’il donnait sa vie pour la mienne. Il se fit tuer d’une balle dans la tête, et son boss déposa une rose noir sur son corps, insigne de la mafia pour laquelle il travaillait. Ils partirent de Memphis par la suite, direction la Californie pour retrouver ma mère et mon grand-père, achever le travail que mon père aurait dû faire 9 ans auparavant. 2 roses noirs, une voiture aux vitres teintées, et ma vie ne fut plus la même en ce soir du 12 Avril 1999.

Plongée dans mon sommeil, je fus réveillée par des cris. Les cris de ma mère. Ma maman… Ma pauvre maman. Ils allaient la tuer. Je sors de ma chambre, les mains et les jambes tremblantes. JE regarde dans le couloir, le corps de mon papy inanimé est au sol, sur le ventre. Je ne voyais plus rien tellement mes yeux s’étaient rempli de larmes. Je les relève, je vois ma mère par terre, en larmes. Ils la tiennent par les cheveux, elle veut s’évader, mais elle me voit. Ses yeux s’agrandissent, elle sourit, elle est rassurée. Elle veut que je vive. Elle hurle à travers la maison que je dois courir. « Cours ! COURS Mandy ! Ecoute Maman !! Cours ma puce. Ne te retourne surtout pas ! » Je suffoque, j’ai peur. Je pleure, mais je l’écoute. JE sais qu’elle ne veut que mon bien. En l’espace d’un centième de seconde, je me retourne vers la porte fenêtre du couloir qui menait directement au jardin. Je cours, je cours tellement vite que je ne sens plus mes pieds. Etait-ce la fatigue ou la peur, je ne sais pas trop. Mais j’ai mal, je sens quelque chose traverser mon épaule. J’ai tellement mal, mais je ne m’arrête pas. Jamais. Je ne me retourne pas. Il est trop tard. J’entends un énième coup de feu, mais je n’entends plus ma mère gueuler ni pleurer. C’est fini. Je suis orpheline. Je cours jusqu’à la plage, je me jette dans la mer, en larmes. Il n’y a personne sur la plage pour m’aider, il est trop tard. Et ce n’est pas la saison. L’eau est froide, mais je reste, je me cache sous l’eau. Mon épaule me fait tellement mal, j’en pleure. Je reste une heure comme ça, mais ils ne viendront jamais me chercher. Jamais. Ils ont tenu parole auprès de mon père. Je vivrai.

J’étais sortie de l’eau et je m’étais allongée sur le sable, trempée. Je ne bougeais plus, je ne sais plus vraiment si je m’étais endormie, je ne crois pas. J’avais regardé les étoiles et la nuit défiler. Je n’étais plus apte à réfléchir, à penser. J’étais traumatisée. Et c’est un vieil homme promenant son chien sur la plage, à 7h du matin, qui me retrouva. J’avais taché le sable de mon sang. Il a crié et il a appelé de l’aide, tandis que nos voisins découvraient avec effroi le bain de sang dans lequel se trouvaient ma mère et mon grand-père. J’ai fini 1 semaine à l’hôpital d’abord pour être soignée au plus vite de ma blessure, avant d’être placée dans un centre psychiatrique. En attendant qu’une famille bien gentille veuille de moi. Et au final, c’est un jeune couple riche de Corée qui vint jusqu’à Laguna Beach pour me rencontrer. Ils étaient beaux. Ils étaient gentils. Mais moi je ne voulais que ma mère. Je voulais la retrouver. Je savais que c’était impossible, mais je la voulais quand même. La fin de cette période si troublante de ma vie prit fin au moment même où j’acceptais d’être adoptée par ces gens. Et d’habiter à l’autre bout du monde. Des papiers signés, et c’était fait. Adieu USA, bonjour Corée du Sud. Bonjour, Busan.

J’avais eu du mal au début. La vie était tellement différente là-bas, mais mes parents adoptifs m’avaient incroyablement aidé. Ils habitaient un magnifique appartement/loft dans le quartier Haeundae, une sorte d'appartement duplex, assez grand pour 3. J’avais changé de prénom. Mandy devint donc Man Ji, je voulais garder une trace de mon passé. J’allais à l’école, j’avais des cours particuliers de coréen. Et au final, je devenais une vraie petite coréenne. J’avais les yeux bridés de toute façon, même s’ils n’avaient pas une couleur normale, j’avais des origines coréennes qui venaient de mon père. Je le détestais. A cette époque-là, je lui en voulais. Tout ça était de sa faute. Nous n’avions pas eu droit au bonheur pour sa faute. Et je me retrouvais avec des étrangers à cause de lui. A cet âge-là, j’étais une petite fille sauvage. Je ne parlais à personne, j’étais souvent seule à l’école. On m’appelait « l’étrangère » mais ça me passait à 3000 au-dessus de la tête. Je repensais à ce soir de cauchemar. Tout le temps. Le temps passa, je grandis. J’étais devenue une jeune femme. Le collège, le lycée, puis… La fac. J’avais fait des rencontres importantes, dont l’une, la plus importante de toutes… Seo Jung Wan. Un mec qui était avec moi au lycée. Il me disait que j’étais belle, la plus belle de toutes, que je devais arrêter de rester dans mon coin. Il m’a permis de m’ouvrir sur le monde, j’étais devenue une vraie folle. On profitait de tous les moments qu’on avait ensemble, on se défonçait, il me disait que je serai sa princesse. Et je l’étais. Tout ce que je voulais, il me le payait. Il dépensait sans compter. Il me laissait une certaine liberté, je pouvais toujours sortir avec mes copines. C’était vraiment trop bien… Jusqu’à ce que je découvre qu’il était membre d’un gang de la ville : les Skies. Tout ce qu’il m’offrait, il se le procurait illégalement. C’était de l’argent sale. Mais j’étais sa princesse. Je l’étais toujours. La femme de sa vie qu’il disait. Je ne sais pas s’il était sincère ou s’il disait ça juste pour me garder avec lui et lui servir de trou. Mais c’était bien. J’adorais être avec lui. On s’envoyait en l’air dès qu’on en avait envie, un peu où on voulait. Souvent chez lui, un peu chez moi, des fois dans des lieux publics comme les toilettes du lycée. J’étais folle de lui. J’aurais pu crever pour mon homme. Mais il a trop joué avec moi, avec mon corps. J’ai servi de prostituée pour ses amis. Quand ces bougres avaient envie de sexe, il me proposait sans scrupules. Et si je refusais, il levait la main sur moi. Je ne voulais pas le faire, mais j’étais obligée. Monter dans la chambre avec l’un d’entre eux, voire plusieurs des fois. Je suis vite partie. Je me suis évadée, j’ai rompu avec lui mais il ne l’a jamais accepté. Alors aujourd’hui, il me traque. Côté école, j’ai d’abord été renvoyée de ma première université après avoir balancé une chaise sur mon prof de droit, qui m’avait fait de sous-entendus déplacés (des cours privés, très privés). J’ai donc envoyé mon dossier à la PNU qui a été sceptique mais qui a fini par m’accepter. Jung Wan a rejoint la PNU aussi, pour me traquer. C’est une chasse à l’homme mais il ne m’aura plus jamais. Il m’interdit de voir d’autres garçons, mais ce qu’il ne sait pas, c’est que je suis restée une femme libre. Je vois les garçons que je veux, je drague ceux que je veux. Et si ça ne lui plait pas, tant pis. Je préfère mourir plutôt que retourner auprès des Skies.

Aujourd’hui, je suis donc à la fac, en troisième année de droit à la Pusan National University. Je sors, je fais la fête, je profite de la vie à fond. Je ne parle à personne de mon affreux passé. Je préfère garder tout ça secret. Les gens ne m’accueillent pas vraiment à la PNU. Ils me fuient ou ils m’ignorent, mais je m’en fiche. Je n’ai besoin de personne… Pour le moment.
falco / ju


âge : 19 ans.
anniversaire : 11/05/93.
pays : France.
connexion : Tous les jours.
un petit mot ? : Je suis heureuseeeee *-* enfin on va pouvoir vous faire partager cette histoire tout droit sortie de notre imagination ♥

Bang Man Ji
Bang Man Ji, got it ?
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ici depuis : 31/08/2012
i like : sortir, faire la fête et étudier.
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T-ae is Bang Mandy _
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T-ae is Bang Mandy

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